Organisée dans le souci de doter les élèves et les jeunes de façon générale, d’informations essentielles de base sur la santé sexuelle et de la reproduction des adolescent(e) et jeunes, la 3ème édition de « Vacances Sans Risques » s’est déroulée dans la ville de Léo, province de la Sissili, du 25 au 27 mai 2013 sous le patronage de Mr le Haut Commissaire de la Province et en présence des autorités techniques et administratives, dont Mme le SG de la Province, Mme le médecin-chef de district sanitaire, Mr le préfet du département de Léo, Mr le directeur provincial de la jeunesse, de la formation professionnelle et de l’emploi, Mr le directeur provinciale de la police nationale, Mr le représentant de la compagnie de gendarmerie, et de plusieurs autres directeurs et chefs de services.

La forte mobilisation des élèves des lycées et collèges de la ville de Léo a caractérisée cette manifestation. Plusieurs activités mettant l’accent sur la promotion de la santé sexuelle et de la reproduction des jeunes et l’utilisation des services de santé ont été réalisées au cours de ces trois journées, notamment :

  • Des activités sportives avec les jeunes (match de football) accompagnées d’animation/sensibilisation ;
  • Une cérémonie officielle présidée par le Haut-commissaire en présence des plus hautes autorités de la ville (préfet, médecin chef de district, responsables des lycées et collèges, etc.) ;
  • Des animations grand public avec les élèves et autres jeunes de la ville ;
  • la réception des travaux de réfection et des équipements fournis au Centre médico-scolaire par le projet ;
  • la production et distribution de Tee-shirts (650) portant des messages de sensibilisation ;
  • la production et distribution des supports d’information (600 Livrets sur la SSR des Jeunes et 500 Dépliants sur les services de SSR disponibles pour les jeunes à Léo).

Les vacances scolaires sont une période de loisirs et d’oisiveté propice aux vices qui exposent à des comportements à risques. L’initiative « Vacances sans Risques » veut contribuer à informer les jeunes vacanciers afin de les encourager à adopter des comportements sains qui les protègent contre les IST, le VIH/SIDA et les grossesses non désirées.

« Vacances sans risques » est une initiative de l’ONG MWANGAZA ACTION et ses partenaires (Associations de jeunes, établissement secondaires, services de santé et de l’action sociale), dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Projet « Amélioration de l’accès aux services de santé sexuelle et de la reproduction pour les Jeunes » dans la ville de Léo. Ce projet est soutenu financièrement et techniquement par le l’ONG américaine « ADVOCATES FOR YOUTH ».

L’atelier de dissémination des produits de capitalisation et résultats du projet CAP-MGF II, s’est tenu le 25 juin 2013 à l’Hôtel Palm Beach situé sur l’avenue KWAME NKRUMA. Il a regroupé les différentes Organisations Locales Partenaires (OLP) impliquées dans le projet, les Partenaires Techniques et Financiers (PTF) et les différentes Organisations Non Gouvernementales (ONG) partenaire de MWANGAZA ACTION.

La rencontre a débuté aux environs de 9 h 20 mn avec la présentation du programme de la journée par le maître de cérémonie, suivi des mots de bienvenue du coordonnateur de l’ONG Mwangaza Action,  de l’ONG DIAKONIA, et  de Madame la Secrétaire Permanente du Conseil National de Lutte contre  la Pratique de l’Excision (SP/CNLPE).

Les produits de capitalisation qui devrait être disséminé sont :

  • le document de capitalisation intitulé «Élimination des mutilations génitales féminines et promotion des droits de la femme : de bonnes approches pour agir» ;
  • le livret pour les jeunes scolaires : l’excision, question réponse ;
  • le manuel des méthodes ;
  • l’outil GRAAP série excision disponible en trois langues (français, mooré, Djoula) ;
  • Le film documentaire intitulé éliminer la pratique de l’excision au Burkina, un impératif.

Dans le cadre  de ces activités de promotion de l’abandon de la pratique de l’excision dans la Région du Plateau-Central, GASCODE, Groupe d’Appui en Santé et en Communication pour le Développement, a sollicité l’assistance technique de Mwangaza Action pour la réplication de Yamwekre dans sa zone d’intervention. Cet appui technique consiste essentiellement à, renforcer les capacités d’une équipe de formateurs et de formatrices, suivre/superviser la formation des facilitatrices/facilitateurs communautaires et à suivre l’animation des classes.

C’est dans ce sens qu’une mission de formation de formateurs/trices s’est déroulée du 02  au 17 septembre 2013 au siège de GASCODE à Ziniaré. Cette session de formation  dont l’objectif principal était de renforcer les connaissances des formateurs/trices de GASCOD sur le contenu pédagogique de Yamwekre a réuni 14 participant(e)s dont  07  femmes et 07 hommes. L’équipe de formateurs de Mawangaza Action, composée de 02 personnes, était entre autres chargée d’appuyer les participant(e)s à préparer les séances d’animation, de suivre les simulations d’animation des séances éducatives afin d’apporter les feed-back nécessaires et d’appuyer les participant(e)s dans la préparation des séances éducatives.

L’expertise, ainsi fournie par Mwangaza Action durant les 16 jours a permis de renforcer les connaissances et compétences des participant(e)s sur le contenu des différents modules de Yamwekre, notamment les droits humains, la protection de l’enfant, la santé de la femme, la promotion de l’abandon de la pratique de l’excision, l’hygiène et prévention de la maladie.

En outre, ils ont pu acquérir des compétences, grâce surtout aux exercices pratiques sur les techniques d’animation des séances éducatives qui les rendent aptes à assurer la formation des facilitateurs communautaires.

Depuis 2007, grâce à l’accompagnement financier de UNCEF/Burkina, le programme Yamwekre est mis en œuvre dans les provinces du Sanmatenga, du Ganzourgou et par la suite dans le Gourma en 2012 et 2013. Ainsi, à nos jours les communautés de 221 villages de ces provinces qui ont bénéficié de l’intervention de ce programme se sont engagés à abandonner la pratique de l’excision à travers des déclarations publiques d’abandon de la pratique de l’excision.

Fort de ses résultats encourageants, pour cette campagne 2013, un des faits majeurs qu’il faut noter est le déploiement  de Yamwekre dans la région du sahel, notamment à Bani une commune rurale située à 35 km de Dori.

C’est dans ce sens qu’une session de formation des Facilitateurs communautaires (FACOM) et des superviseurs s’est déroulée du mardi 1er au samedi 26 octobre 20013 au centre diocésain de Dori. Cette formation avait pour objectif de renforcer les compétences des participant(e)s  pour la mise en œuvre des activités du programme Yamwekre dont le but est de contribuer à la création d’un environnement protecteur pour les enfants, filles et garçons, dans la zone d’intervention.

Par ailleurs, l’objectif principal de la formation était de renforcer les connaissances des participant(e)s sur la stratégie de mise en œuvre et le contenu du programme Yamwekre, afin de leur permettre de conduire efficacement les activités sur le terrain.

A l’issue de la formation qui dans l’ensemble s’est bien déroulée, 30 candidat(e)s sur 45 au poste de FACOM ont été retenus pour la présente campagne de Yamwekre.

 

Depuis 2007, grâce à l’accompagnement financier de UNCEF/Burkina, le programme Yamwekre est mis en œuvre dans les provinces du Sanmatenga, du Ganzourgou et par la suite dans le Gourma en 2012 et 2013. Ainsi, à nos jours les communautés de 221 villages de ces provinces qui bénéficiés de l’intervention du programme ont pu changer la norme sociale en rapport à la pratique de l’excision à travers des déclarations publiques d’abandon de la pratique de l’excision.

Fort de ses résultats encourageants, pour cette campagne 2014, un des faits majeurs qu’il faut noter est le déploiement  de Yamwekre dans la région du sahel, notamment à Bani, une commune rurale située à 35 km de Dori.

C’est dans ce sens qu’une session de formation des Facilitateurs communautaires (FACOM) et des superviseurs s’est déroulée du mardi 01 au samedi 26 octobre 2013 au centre diocésain de Dori. Cette formation avait pour objectif de renforcer les compétences des participant(e)s  pour la mise en œuvre des activités du programme Yamwekre dont le but est de contribuer à la création d’un environnement protecteur pour les enfants, filles et garçons, dans la zone d’intervention.

Par ailleurs, l’objectif principal de la formation était de renforcer les connaissances des participant(e)s sur la stratégie de mise en œuvre et le contenu de programme Yamwekre, afin de leur permettre de conduire efficacement les activités sur le terrain.

A l’issue de la formation qui dans l’ensemble s’est bien déroulée, 30 candidat(e)s sur 45 au poste de FACOM ont été retenu(e)s pour la présente campagne de Yamwekre.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet «Appui à la promotion de l’abandon des mariages  précoces, dans la région de l’Est précisément  dans la commune de Fada, l’ONG MWANGAZA ACTION a, avec l’appui financier du Canada, organisé du 15 au 18 janvier 2014, un atelier de formation au profit de 50 relais communautaires dont 21 femmes en technique de communication pour la promotion de l’abandon des mariages et forcés. Au deuxième jour de la formation, Son excellence Monsieur Ivan Roberts, Ambassadeur du Canada au Burkina Faso est venu encourager les participants et leur remettre du matériel de sensibilisation. C’est un kit composé de mégaphones, de guides de sensibilisation  en langue Gulmancéma, des sacs, des affiches et de tee shirts qu’a reçu chaque noyau relais.

Ce projet s’inscrit dans le cadre global de la mise en œuvre du produit du 7ème programme de coopération entre le Burkina Faso et l’UNFPA, qui vise à lutter contre les violences basées sur le genre en l’occurrence les mariages précoces et forcés  et l’excision dans les régions de l’Est, du Centre-Est  et du Sahel. L’ambassade du Canada au Burkina Faso à travers le Fonds Canadien d’Initiatives Locales (FCIL) vient renforcer cette lutte. Elle s’est fondée sur les besoins non satisfaits et  exprimés par les communautés. Cette remise s’est faite en présence du deuxième Adjoint au Maire de la commune de Fada, du Directeur provincial de l’action sociale et de la solidarité nationale du Gourma, du Directeur régional de la promotion de la femme et du genre. Son excellence Monsieur l’Ambassadeur du Canada, après avoir félicité MWANGAZA ACTION, a invité  les relais à travailler avec plus abnégation et de tact pour obtenir l’engagement des leaders, des responsables coutumiers et religieux, des parents et des enfants.

Auparavant, soit du 07 au 11 janvier  2014, 12 animateurs de l’association Todi Yaba auxquels se sont joints  02 agents  de la Direction provinciale de l’Action sociale  et de la solidarité nationale  et 01 de la Direction régionale de la promotion de la femme et du genre de l’Est, ont été formés en technique de communication et du plaidoyer pour la promotion de l’abandon  des mariages précoces et forcés dans la commune de Fada N’Gourma  avec le même financement.

Tous ces acteurs devront pouvoir toucher 2200 personnes avec les séances de causeries éducatives et de visite à domicile  et 225 leaders coutumiers et religieux avec des séances de plaidoyer.

Le samedi 24 mai 2014, 34 villages et 11 secteurs de la commune de Fada N’Gourma se sont engagés publiquement et conjointement à abandonner  la pratique des mariages précoces et forcés. C’était au cours d’une  cérémonie publique tenue à la place de l’unité, en présences de plusieurs  autorités administratives avec en tête le gouverneur de la région de l’Est, les chefs de services techniques centraux et décentralisés venues pour êtres témoins de cet engagement. Le parrain de la cérémonie, sa majesté Koupiendeli roi du Gulmu a été représenté par son excellence le Chef TANGLI.

Plusieurs intervenants se ont succédés sur la tribune qui pour souhaiter la bienvenue aux participants qui pour féliciter et encourager les communautés pour leur engagement. Au total, 05 intervenants  se sont  succédé sur la tribune. Mais le clou de l’évènement a été la présentation des engagements des communautés. Tour  à tour la représentante  des femmes,  celui des hommes et des coutumiers ont prononcé l’engagement  respectivement des femmes des hommes et des coutumiers.

Les femmes se sont engagées à «lutter avec détermination contre les mariages précoces et forcés» ;  les hommes  se sont engagés à « dire non aux mariages précoces /forcés » dans  la commune ; enfin les coutumiers dans leur déclaration,  affirment «à travers ce projet, nous avons pris consciences de toutes les conséquences liées au phénomène tant au niveau de la victime de la famille que de la communauté.par conséquences nous nous opposons à cette pratique ignoble et avilissante».

Cette prise d’engagement public est la résultante de l’action de l’ONG Mwangaza Action qui depuis 2011 met en œuvre le projet «Appui à la promotion de l’abandon des mariages précoces dans les Régions de l’Est et du Centre Est  avec le financement du 7e programme de coopération 2011 -2015 entre le Burkina Faso et l’UNFPA. La mise en œuvre de ce projet a donné les résultats suivants :

  • 50 membres de noyaux relais formés, équipés et opérationnels ;
  • 24 leaders communautaires formés sur les mariages précoces ;
  • 14 membres d’associations formés en communication et plaidoyer ;
  • 11.480 séances de causeries de groupe et causerie à domicile, avec plus de 33.560 personnes touchées ;
  • 33 séances de plaidoyer auprès des leaders coutumiers et religieux, avec plus de 544 leaders touchés ;
  • 20 rencontres villageoises de bilan et d’engagement pour l’abandon des mariages précoces et forcés.

La cérémonie de la déclaration publique a été la suite logique de ces actions. Les diverses activités de communication et de sensibilisation menées au sein des populations et les actions de plaidoyers conduites auprès des leaders coutumiers et religieux ont abouti à une prise de responsabilités des communautés qui ont exprimé leur intention d’abandonner la pratique. Cette volonté a été réaffirmée au cours d’une rencontre tenue le 07 mai 2014 à Fada avec les responsables de l’ensemble des villages et secteurs  de la commune. Au cours de cette rencontre, les participants ont fait le bilan de la mise en œuvre depuis le début du processus, examiné les points forts et les insuffisances et formulé des propositions.

La principale conclusion a été l’organisation d’une cérémonie publique de prise conjointe d’engagement d’abandon des mariages précoces. C’est à cette occasion que la date du 24 mai 2014 a été retenue de façon consensuelle.

Du 19 au 21 septembre 2012, s’est tenu dans les locaux de l’Association pour le Développement de la Région de Kaya (ADRK), l’atelier de validation des modules de formation des acteurs de la mise en œuvre de la stratégie «Ecole des Maris». Cet atelier se situe dans le cadre de la réplique et de l’adaptation au contexte du Burkina Faso de la stratégie d’implication des hommes dans la recherche de la santé de la reproduction dénommée «Ecole de Maris», inspirée de l’expérience du Niger. La mise en œuvre de la stratégie  est financée par le 7ème Programme de coopération entre le Burkina Faso et l’UNFPA (2011-2015).

En rappel, le processus de  la mise en œuvre de la stratégie a commencé en 2013 et dix écoles ont été mises en place. Pour le bon fonctionnement de ces écoles, les capacités des membres doivent être forcément renforcées, d’où la nécessité de disposer de documents de formation. C’est dans ce cadre que s’est tenu l’atelier de validation des guides de formation des acteurs.  Au total vingt quatre (24) personnes issues des services techniques de la santé, de la promotion de la femme et du genre,  d’ONG et de l’administration publique ont participé à l’atelier.

A l’issu de l’atelier, le module de formation des membres des écoles de maris sur la santé de la reproduction (SR), les modules de formation des membres des «Ecoles de Maris» en leadership et techniques de communication, le document d’orientation des acteurs de mise en œuvre de la stratégie «école de maris» ont été validés ; les outils de suivi communautaire de la mise en eouvre ont  été amendés et seront testés.

L’atelier qui a regroupé diverses compétences dont les contributions aux travaux ont permis d’enrichir le contenu des documents/guides de formation des différents acteurs de mise en œuvre de la stratégie «Ecoles de Maris» s’est achevé dans l’espoir que  désormais, ces documents constituent des documents de référence au niveau national pour la mise en œuvre de cette stratégie.

La mise en œuvre des activités suppose une meilleure organisation et une identification des activités à mener. Une planification s’impose afin de permettre aux membres des «Ecoles de Maris» de se fixer des objectifs bien clairs et de favoriser un meilleur suivi des activités.

En outre, l’implication des leaders, des  hommes, femmes et des communautés est importante aux cotés des membres des écoles de maris durant tout le processus de mise en œuvre des activités. Cette implication favorisera le diagnostic participatif sur la situation de santé de reproduction élargie à plusieurs acteurs de la communauté. Aussi, elle permettra dès l’entame des activités une meilleure compréhension du problème, des causes réelles et directes sur lesquelles agir,  une planification basée sur les priorités et la faisabilité, une appropriation et responsabilisation autour des actions définies de façon consensuelle et un meilleur suivi communautaire.

Les ateliers communautaires se sont déroulés du 12 au 18 avril 2014 dans les aires sanitaires de ISSAOGO, POULALLE, LEBDA.

Durant 2 jours, une analyse des problématiques spécifiques liées aux composantes de la SR a été faite. Les problèmes spécifiques identifiés par les communautés sont les suivants :

  • de nombreuses femmes enceintes ne font pas les CPNR,
  • très peu de femmes enceintes respectent  les 4 CPNR préconisées,
  • de nombreuses  femmes  n’accouchent pas dans les formations sanitaires,
  • très peu de femmes nouvellement accouchées font les CPoN (les 6 e et  42e jours),
  • très peu de femmes en âge de procréer  utilisent une méthode contraceptive moderne,
  • de nombreuses femmes n’adhèrent pas  à la PTME

La stratégie «Ecoles de Maris» est une approche des communautés mise en œuvre dans le district sanitaire de Kaya dans la région du Centre Nord. Elle vise une  participation active des hommes dans la promotion de la santé de la reproduction en vue d’une meilleure utilisation de ces services par les femmes.

Pour permettre aux membres de ces écoles de jouer pleinement leur rôle dans ce processus, une formation a été organisée à leur intention afin de renforcer leurs compétences en santé de la reproduction, le leadership, la dynamique de groupe, la prise de décision, les techniques de communication.

Tenue dans la salle de réunion de la mairie de Pissila, la formation  s’est faite en deux sessions pour une question d’efficacité c’est à dire,  permettre aux participants d’une part, de mieux s’imprégner du contenu des différents thèmes abordés et d’autre part,  de participer activement aux travaux.

La première session s’est tenue du 26 au 29 mars 2014 avec au total 81 participants repartis en deux groupes et a concerné les membres des écoles de Lebda, Kamsé, Goema, Komsilga, Nioko, Issaogho et Wapassi. La seconde avec 36 participants s’est tenue du 31 mars au 03 avril 2014 avec les membres des écoles de Roumba, Gnangdin et Poulallé.

La formation avait pour objectifs de :

  1. Renforcer les connaissances des membres des écoles sur:
  2. Renforcer les connaissances des membres des écoles sur :
  • le leadership,
  • la dynamique de groupe,
  • la prise de décision,
  • les techniques de communications.
  1. Orienter les membres sur leurs rôles.

Au terme des deux sessions, on retient que les membres des «Ecoles de Maris» sont bien outillés pour  mener la bataille auprès de leurs pairs pour la cause de la femme et de l’enfant.